Ce projet est le fruit d’un cheminement complexe, d’un long processus de transformation de plusieurs aspirations en un passage à l’action.
Chrysalide : aspirations profondes
Trois éléments phare ont nourri mon projet bien en amont :
- Passionnée de voyage, de découverte et de partage, j’aime aller à la rencontre de nouvelles cultures
- Impliquée dans l’association WoMen’Up depuis plus de trois ans, j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreux entrepreneurs et de m’inspirer de leur parcours et de leur détermination
- Sensibilisée aux enjeux sociétaux et environnementaux, je me suis tout naturellement tournée vers l’entrepreneuriat social et solidaire.
Eclosion : Prise de conscience
Il n’y a pas de route toute tracée, il y a un nombre infini de trajectoires. A nous de trouver la voie qui saura faire sens et d’écouter la voix qui saura se faire entendre, qui saura raisonner.
En quête de sens
Comme beaucoup de jeunes de ma génération, j’ai été victime d’ennuie au travail et d’un manque de sens profond à donner à mon job. D’un boringout, je suis passée à un jobout avec l’envie profonde de vivre autre chose, d’avoir un boulot plus enclin avec mes valeurs, de redonner du sens à mon travail et à ma vie.
S’ouvrir aux autres
Voyager seule, c’est faire face à de nouvelles problématiques. C’est grandir ! C’est être plus à l’écoute, plus ouvert aux échanges, et aux rencontres.
On dit que les voyages forment la jeunesse. Je pense que la richesse naît de la rencontre, du partage, de l’échange multiculturel.
Envol : Passage à l’action
Comme aime à le répéter Emmanuelle Duez, et non sans tord, « nous sommes soit spectateur de notre vie, soit acteur de notre destinée ». Cette petite phrase toute bête a fait son chemin pour m’aider à prendre conscience du rôle que l’on veut bien se donner et que le choix de se bouger ou non nous appartient.
L’idée du tour d’un monde était en gestation depuis pas mal de temps. L’envie d’y apporter une dimension entrepreneuriale et engagée a pris tout son sens ces deux dernières années et surtout ces six derniers mois, marquée notamment par le festival OuiShare « Je rêvais d’un autre monde ».
Le format s’est esquissé au fil d’échanges et de réflexions. Mes thématiques font partie des 17 objectifs de développement durable définis par L’ONU. J’ai choisi de mettre l’emphase plus spécifiquement sur l’éducation, la mixité et l’environnement (qui regroupe à lui seul plusieurs objectifs de l’ONU) car ils font pleinement échos à mes implications et préoccupations personnelles et/ou professionnelles. C’est une sorte de premier socle fondamental.